Archives pour la catégorie Christine Wodrascka

Lupercales

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SAVE THE DATE
14.06.24 ⎮ Sortie de l'album sur le label Mr Morezon
COMMUNIQUE DE PRESSE
En écoute en avant-première un titre de l'album, c'est juste ci-dessous !

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Distribution

Christine Wodrascka : piano
Didier Lasserre : batterie

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lupercales

Retour sur un parcours de rencontres
The Bridge

Un jour, en l'an 2018, Didier Lasserre et Christine Wodrascka se retrouvent dans le projet transatlantique The Bridge au sein d'un quintet franco-américain de free jazz ou de musique improvisée, selon l’humeur : Les Minuscules Sangliers avec Keefe Jackson, Dave Rempis, et Peter Orins.
En tournée pendant trois semaines à travers la France, Didier Lasserre et Christine Wodrascka ont le loisir de s'observer, de croiser leur musique, se confronter même. Des affinités, ils s'en sont trouvées, plus d'une ! Le rythme et tous ses mystères, le son et toutes ses richesses, l'énergie et toutes ses nuances : ils s'en régalent, s'en amusent, sérieusement, en toute liberté.

Silence was pleased

Un autre jour, en l'an 2021, Didier met en place un projet de septet, Silence was pleased qui réunit Didier Lasserre, Jean-Luc Cappozzo, Gaël Mevel, Denis Cointe, Laurent Cerciat, Christine Wodrascka, Benjamin Bondonneau et Loïc Lachaize.
Ici, Didier établit une sorte de parcours composé de différents rendez-vous aux couleurs bien distinctes : un très beau moment poétique. Au détour du chemin, une étape est prévue : Didier Lasserre et Christine Wodrascka jouent en duo. La sauce prend on ne peut mieux, à chaque représentation. C’est précisément là que le duo Didier Lasserre, drums, et Christine Wodrascka, piano, est né. Le pas est franchi, en témoigne l'enregistrement lupercales /1.

Leur réelle racine à tous deux : le free jazz. En complément, la musique contemporaine, dans tous ses états. Ensemble, derrière leur instrument, ils aiment se surprendre, se soutenir, se confondre, se contredire, se laisser flotter dans l'espace sonore, échafauder petit à petit un sillon, creuser, insister, répéter, jouer avec plein ou vide, silence ou force, noir ou blanc.

Un duo évident.

lupercales /1

D'une partition invisible, feuille de papier millimétrée noircie, trouée, striée,
d'un canevas de rythmes pensés par trois en points serrés,
d'une harmonie d'un seul trait, en pur jailli,
Christine Wodrascka  & Didier Lasserre jouent leur présence dans le réel, et le réel de leur présence.

Free ? Bien sûr, ils ont payé leur tribut … à l'Histoire, à ce que l'on appelle la mémoire, et à l'attente aussi.
Mais ne vous y trompez pas : plus qu'une simple issue, il est bien question, ici, de liberté.

Denis Cointe travaille actuellement à l'écriture d'un film documentaire sur la musique improvisée et tout particulièrement auprès de Didier Lasserre et de Christine Wodrascka. Il sera produit par l'Atelier documentaire.
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Vidéos

Le son du Grisli

[…] Une rencontre qui a bien fait d’avoir eu lieu.
Y montent des rumeurs de piano qui feront bientôt l’effet d’une déferlante après laquelle on n’oserait plus rien imaginer. Or, de la guitare d’Evrard émergent des notes qui crépitent, et insistent après le piano : c’est à une musique de sombres méandres et non à des notes qui batifolent sans compter que les deux instruments ont été consacrés. Rampantes, les traînées de sons que le duo laisse derrière lui jouent de stridences, d’étranges accordages, de ronflements voire d’étouffements. Comment, après cela, était-il possible d’intituler la rencontre ?

Guillaume Belhomme, Le Son du Grisli, octobre 2019

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Duo Evrard Wodrascka – Le son du Grisli

Jazz Magazine

Révélation !
D’un côté, Christine Wodrascka, improvisatrice portée vers la composition contemporaine, de l’autre Betty Hovette, interprète de ce dernier domaine dont elle tend à s’affranchir. De cette convergence est né Iana, duo de pianos, et ce disque : quatre quasi-miniatures improviées en studio et cette longue suite de 43’22 deux jours plus tard, aux Donauschingen Musiktage. De la fluidité dispendieuse ou minimale d’un clavier à l’autre, aux exercices de fusion des deux en un seul générateur sonore pour la pièce live, se dégage une complicité fascinante.

Franck Bergerot, Jazz Magazine, décembre 2018

Iana Jazz Mag