Archives pour la catégorie Label

JAZZ WORD

Looking for the perfect Jazz-Impov band consisting of a quartet of French nationals whose repertoire is exclusively Anglo-Saxon folk music? Well look no further than Bedmakers.

Expressive throughout with tropes stretching from a capella arabesques and double-tonguing from the saxophonist to triple stopping violin runs and percussion gallops, Bedmakers prove that these simple melodies can be reconstituted without any lose of groove or passion. Without losing an iota of sophistication in their interpretations, the quartet defines itself as a jubilant party band for any century.

Ken Waxman, Jazz Word, août 2018

lire la chronique sur Jazz Word

Revue de presse – Tribute to an Imaginary Folk Band – Jazz Word

Improjazz / Jazz à Babord

Fincker et ses compagnons prennent le jazz à la lettre : épris de liberté, ils abolissent les frontières entre musiques populaires et musiques savantes… Les airs folks ou celtiques passés à la moulinette de Bedmakers deviennent un cocktail explosif et jubilatoire !

Bob Hatteau, Jazz à Babord, août 2018
& Improjazz, octobre 2018

lire la chronique sur Jazz à Babord

Revue de presse – Tribute to an Imaginary Folk Band / Bedmakers – Jazz à Babord / Improjazz

C’est un très bel album que ce Trois oiseaux. Très beau réellement.

Épure pourrait être le mot le plus adapté pour qualifier cet album. Les phrases vont à l’essentiel, sans chichi ni atours clinquants, et l’émotion en est bien sûr d’autant plus grande.

Disque élu Citizen Jazz

Gilles Gaujarengues, Citizen Jazz, juin 2018

Citizen Jazz – chronique album Trois Oiseaux

Revue de presse – album Trois Oiseaux – Citizen Jazz

Citizen Jazz

Fish From Hell ? Le titre du groupe est aussi programmatique que l’intitulé de l’album car le trio, issu du très ingénieux collectif Freddy Morezon, propose une interprétation maison de Moby Dick.

De fait, on trouve au centre de ce récit instrumental un combat entre la baleine blanche et les marins. L’une et les autres quelquefois s’observent, s’attendent, se jaugent. La musique est alors minimaliste, souvent bruitiste. En revanche, elle s’énerve drôlement quand l’humain s’attaque au cétacé. « La chasse » est ainsi un morceau nerveux fait de sueur et de sang. On y trouve beaucoup de choses : des armes, des larmes, des cris et une détermination sans faille.

Marc Démereau et Fabien Duscombs travaillent depuis longtemps et régulièrement ensemble sur des formats disons… alternatifs. Aussi ne sera-t-on pas étonné qu’ils restituent avec brio cette violence. Ça grince, ça crisse, ça hurle. On découvre en revanche Sébastien Bacquias. Lui se dit « contrebassiste tout terrain » et c’est vrai qu’il use à merveille ses crampons dans les terrains les plus escarpés, qu’il soit à la contrebasse ou aux effets.

Chaque morceau s’apparente à un chapitre. Aussi l’album s’écoute-t-il sans discontinuité dans l’ordre des pistes. Il se termine sur l’inéluctable naufrage – que peut-on en effet contre la mort ? – après avoir narré la rencontre bestiale aux frontières de l’humanité. Pas conventionnel ? Soit ! Mais à l’image du combat entre l’Homme et la Bête.

Gilles Gaujarengues, Citizen Jazz, 7 janv 2018
Lire la chronique sur Citizen Jazz

Revue de presse – Fish From Hell – Moby Dick Wanted – Citizen Jazz