Citizen Jazz
La force de ce duo réside dans la somme de deux individualités. La chanteuse est solaire, la voix est claire et haute. Elle joue de la batterie avec un art distingué du minimum. Terrienne dans sa pratique, son chant s’élève haut et pur et le contraste est fructueux. A ses côtés, le guitariste est secret mais son jeu est nerveux. Les attaques sont franches et toujours cherchent à mener plus loin encore les pièces interprétées.
Citizen Jazz – février 2022
Revue de presse – Choc Gazl – Citizen Jazz
Archives pour la catégorie Revue de presse
Citizen Jazz
Cet hommage décoiffant donne à entendre quatre morceaux de la décennie 74-84 de la pianiste américaine. Avec une approche volontairement pop et un son puissant, ces quatre multi-instrumentistes viennent embellir la déjà très riche palette de timbres des compositions originales. Il confirme aussi combien la musique de Carla Bley s’ouvrait déjà vers d’autres contrées musicales pour y puiser son originalité. Les nouveaux arrangements décuplent le pouvoir évocateur de ces explorations.
Citizen Jazz – mars 2022
RP – Mortelle Randonnée – Citizen Jazz
Revue & Corrigée
Mathieu werchowski est ce saltimbanque dansant sur les portées à demi effacées de l’improvisation. Il impressionne par la fluidité du jeu, les cycles qu’il dessine à la façon des minimalistes, créant un opéra de crissements, de frottements, de vibrations. il travaille le son dans toutes ses composantes, du bruitage à la note épurée, la rudesse d’un jeu contemporain qui flirte parfois avec la tension extrême de celui de Tony Conrad. Tzigane échappé des folklores, il nous invite à sa table ou dans son lit pour ses « Régals », fermez les yeux, la musique vous touchera, les vers du poème de Verlaine récités dans un souffle, la grâce du violon s’enlaçant à l’érotisme cru du mot.
Revue & Corrigée – mars 2022
Revue de presse – MW solo – Revue & Corrigée
Dernières nouvelles d’Alsace
Le violoniste Mathieu Werchowski ouvre le feu pour un solo tout en tension. Dans une longue et unique respiration qui ne laisse quasiment pas de place au silence, enchaînant inlassablement de nouvelles boucles sonores, dans l’expression de l’urgence. Une belle traversée intranquille qui puise aux sources vivifiantes des falaises d’Irlande, gravit les montagnes occitanes, affronte les bourrasques des steppes mongoles…
Dernières nouvelles d’Alsace – août 2021
Revue de presse – MW solo – DNA
Perte & Fracas
Forêt suit son instinct, n’obéit à aucunes règles, interprète son histoire et sa petite musique interne avec intensité, nerveusement, fébrilement et c’est une franche réussite. Il faudrait vraiment être de bois pour rester insensible à Forêt. Faulkner Songs jusqu’à l’agonie.
Perte & Fracas, juin 2021
Revue de presse – Perte & Fracas – Faulkner Songs
PointBreak
[…] Et brute, la musique de Faulkner Songs l’est carrément. Guitare branchée à
l’ampli sans effet, ni combine. Reste alors la technique de jeu, l’intention de chaque note appuyée ou
glissée. Reste surtout de sacrés paysages où vous êtes libres. Libres d’y ajouter la lumière d’août, des
sycamore trees et de grands champs d’herbe rase si bon vous semble. […]PointBreak, Guillaume Malvoisin, mars 2021
Revue de presse – PointBreak – Faulkner Songs
Citizen Jazz
[…] Comme s’il n’y avait rien d’autre que les cicatrices de la déchéance sudiste en écho à cette guitare dépouillée et écorchée. L’album est enregistré sans autre effet que celui de l’amplification, contribuant ainsi à signifier la douleur et la désolation. Et c’est terriblement chouette. […]
Citizen Jazz, fév 2021
Revue de presse – Citizen Jazz – Faulkner Songs
Le Grigri
Poèmes sans paroles, vignettes improvisées, soundtrack imaginaire, « Faulkner Songs » plonge dans un monde onirique et ardent où les morceaux n’ont pas de nom (ils sont tous Untitled) et la guitare électrique n’a presque plus d’électricité. […]
Le Grigri, fév 2021
Revue de presse – Le Grigri – Faulkner Songs
Jazz Magazine
Choc Jazz Magazine
L’éventail des ressources expressives et sonores en présence, et l’écoute fine qui ruisselle entre les musiciens sont servis par une prise de son parfaite qui place l’auditeur au centre d’une fascinante expérience sensorielle.
[…] Magie ou subterfuge de l’enregistrement, [l’auditeur] ne résistera pas à renouveler la traversée.Vincent Cotro, Jazz Magazine, mars 2020
Deep Ford – Jazz Magazine
Citizen Jazz
Disque élu
On découvre chacun des morceaux comme un tableau qui se crée là, immédiatement, devant le public.
[…] C’est d’ailleurs très certainement parce que le trio tient là un équilibre subtil que You May Cross Here est une fort belle réussite ; il est vivement conseillé d’emprunter ce gué.Gilles Gaujarengues, Citizen Jazz, mars 2020
Deep Ford – Citizen Jazz