Juin 2015
Mr Morezon 011
8 Détours

Juin 2015
Mr Morezon 011
Octobre 2014
Mr Morezon 009
Octobre 2013
Mr Morezon 007
★ NOUVEL ALBUM " Passe Montagne " ★ Bedmakers s'est rendu au légendaire studio La Buissonne dans le sud de la France pour concevoir un troisième opus, créant de nouveaux liens entre vieilles chansons folks revisitées, compositions originales et musique chambriste librement improvisée. Sortie 31 janvier 2025 chez Mr Morezon !
Bedmakers - Passe-Montagne
31 janvier 2025
Mr Morezon 038
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Bedmakers - Tribute to an Imaginary Folk Band
5 mars 2021
Jazzdor series
+ d'infos
avril/juin 2018
Mr Morezon 017
En co-production avec Babel Label
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Robin Fincker : saxophone tenor, clarinette
Mathieu Werchowski : violon
Dave Kane : contrebasse
Fabien Duscombs : batterie
[…] C’est classe. Le quartet livre une façon de visitation laïque du sacré populaire. C’est très classe. Classe lui aussi, le contrepoint de deux paires mis en équations. Aux cordes raides, verticales et implacables de Mathieu Werchowski et de Dave Kane s’étend le terroir flottant dessiné par les frappes de Fabien Duscombs, terreau royal sur lequel évolue Robin Fincker. Et la règle du jeu devient distincte. Assener sans se retourner, revenir sur le motif plus tard et pratiquer la politique de la terre brûlée. Au vent des landes de pierres. À vouloir jouer du folk avec un groupe anti-folk, on finit par rejoindre avec splendeur les routes de l’Irlande filmée par John Ford. Large de champ, noire mais foncièrement humaniste.
Guillaume Malvoisin / Le Bloc, Festival Météo Mulhouse, août 2019
Reportage radio & interview de Bedmakers et des écoliers à l’occasion des concerts scolaires « Du Jazz dans ma cour d’école », dans les écoles des vallées du Pays Toy (Haute-Pyrénées), avec l’assocation Jazz’Pyr.
Émission « M comme Musique » sur Fréquence Luz, 14 juin 2019 :
écouter l’émission
Jazz en Marche Jeunesse : Bedmakers
Dans « Tribute to an Imaginary Folk Band », les quatre musiciens se livrent à un jeu de déconstruction/reconstruction, ébauchant plus ou moins les mélodies d’origine, les concassant dans le creuset d’une improvisation collective débridée pour les faire renaître sous des atours libertaires. Une grande réussite.
Julien Aunos, Citizen Jazz, janvier 2019
Émission A l’Improviste d’Anne Montaron dédiée à Bedmakers, septembre 2018, France Musique. Enregistrée le 7 juin 2018 au studio de l’Ermitage à Paris lors de la sortie d’album de Bedmakers.
Looking for the perfect Jazz-Impov band consisting of a quartet of French nationals whose repertoire is exclusively Anglo-Saxon folk music? Well look no further than Bedmakers.
Expressive throughout with tropes stretching from a capella arabesques and double-tonguing from the saxophonist to triple stopping violin runs and percussion gallops, Bedmakers prove that these simple melodies can be reconstituted without any lose of groove or passion. Without losing an iota of sophistication in their interpretations, the quartet defines itself as a jubilant party band for any century.
Ken Waxman, Jazz Word, août 2018
Fincker et ses compagnons prennent le jazz à la lettre : épris de liberté, ils abolissent les frontières entre musiques populaires et musiques savantes… Les airs folks ou celtiques passés à la moulinette de Bedmakers deviennent un cocktail explosif et jubilatoire !
Bob Hatteau, Jazz à Babord, août 2018
& Improjazz, octobre 2018
Un disque, sorti en 2018, avait attiré mon attention. Il s’agit de Tribute to an imaginary Folk Band […].
Le quartet acoustique noue une musique viscérale, trempée dans la tourbe.
Bruno Pfeiffer, Libération, juillet 2018
Ici cohabitent le blues, des mélodies traditionnelles, des échos de rock, transfigurés par l’improvisation. Si l’oreille saisit parfois au vol quelques notes ou rythmes d’Irlande ou des gavottes de chez moi, ils ne sont pas là comme objets folkloriques mais comme les paroles vivantes d’un chant d’aujourd’hui.
Robin Fincker, Mathieu Werchowski, Dave Kane et Fabien Duscombs font preuve d’un engagement de tous les instants. Robin Fincker est si visiblement habité par sa musique qu’elle nous empoigne physiquement. On a l’impression que c’est sa propre voix que l’on entend et non le son de son instrument. Un grand moment de ce festival.
Jean-François Picaut, CITIZEN JAZZ, juin 2018
Pour la première de Bedmakers, désigné d’emblée comme le quartet le plus chic de l’est, il n’a pas été question que d’uniforme. La force de leur « Tribute to an imaginary folk band » c’est d’avoir trouvé des chemins de traverses entre les balises des ritournelles folks, celtiques et blues. Mon sang breton n’a fait qu’un tour à l’écoute d’airs traditionnel irlandais – associés dans ma mémoire aux pipers des Chieftains ou du flutiste Matt Molloy – ici électrisés par le violon de Mathieu Werchowski. Les blues de John Fahey (auteur de l’éponyme « Jesus Is A Dying Bedmaker ») rejoués par Robin Fincker (ts, cl), épaulé par Fabien Duscombs (dm), toujours tonitruant, ont même gagné en intensité dramatique. Pascal Niggenkemper (b) n’avait plus qu’à avoir recours à un jeu bruitiste brumeux, pour parfaire le tableau.
Anne Yven, CITIZEN JAZZ, décembre 2016
Joyeux et efficace
Francis Marmande, LE MONDE.fr, novembre 2016
Bedmakers fait irruption dans les méandres de la folk anglo-saxonne. Il réunit le saxophoniste/clarinettiste anglophile Robin Fincker, le batteur Fabien Duscombs, le violoniste aux dérives électroacoustiques Mathieu Werchowski et le contrebassiste irlandais Dave Kane.
Il creuse cette matière sonore fertile, mûrie par les multiples décennies de tradition orale, pour en extraire son essence mélodique et l’observer à travers le regard d’improvisateurs sans étiquettes.
Ce croisement imaginaire de différentes essences musicales propose un répertoire aux itinéraires multiples, à l’image de ces musiques qui, bien que profondément liées à leurs racines, ne connaissent pas de frontières pour autant.
Deux ans après la sortie de son enregistrement « Live In Berlin » (Label Jazzdor Series), Bedmakers s’est rendu au légendaire studio La Buissonne dans le sud de la France pour y enregistrer « Passe Montagne », son nouvel opus. Un album qui créé de nouveaux ponts entre chansons folk revisitées, compositions originales et musique de chambre improvisée.
Surnom d’un passeur de frontière imaginaire et d’une cagoule aux airs zapatistes, Passe Montagne fait écho aux chemins de traverse et à l’envie légère d’aller voir ce qui se trame de l’autre côté de la crête.
Bourrées en hommage à Ornette Coleman, grooves du bayou cajun issus d’une vague de cliquetis bruitistes, ballades évoquant de vastes landes suivies de reels au bord du précipice : Bedmakers se joue et joue avec tout, cherchant la joie, la faille ou la transe selon l’envie du moment. Ici, seul compte le désir de liberté et de surprise propre aux musiques de l’instant, conjugué à un répertoire aux multiples paysages sonores.
Le résultat est un kaléidoscope musical dans lequel le son du groupe prévaut sur les voix individuelles, au service d’un récit partagé et partageur.
Une production Freddy Morezon.
Photo : Jose Luis Bongore Vignette photo page "projets" : Suzy Noguès
Christine Wodrascka s’associe à quinze musiciens reconnus de la scène régionale pour offrir leur interprétation d’In C, pièce emblématique du minimalisme répétitif. Créé spécialement pour l’interprétation de cette œuvre mythique, l’Ensemble FM, rassemble des musiciens issus des scènes jazz, de la musique improvisée et de la musique contemporaine autour leur goût de l’expérience et de la spontanéité.
nov 2015
Mr Morezon 012
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vinyle 45 tours / 18 avril 2015
Tractor Notown
production Mr Morezon
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2012
Tractor Notown
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G.W. Sok : voix, textes
Marc Démereau : saxophones, électronique, scie musicale
Nicolas Lafourest : guitares
Fabien Duscombs : batterie, percussions
Perte et fracas
Le jazz et le rock de Cannibales & Vahinés est plus free que jamais tout en restant mélodique, ouvert et sensible. Et pas dénué d’un swing frétillant, d’une légèreté qui se fredonne, d’arpèges mélancoliques et de suaves lignes de saxo. Osmose jubilatoire. Plénitude des sens.
Murder Poets
par Cannibales & Vahinés
Live au Taquin, Toulouse / février 2020
Vidéo : Claire Hugonnet
Whatever
par Cannibales & Vahinés
Live au Taquin, Toulouse / février 2020
Vidéo : Claire Hugonnet
To Bring You My Love (PJ Harvey cover)
Filmé et enregistré le 24/11/16 à L’Astrolabe, Orléans
Vidéo : L’Astrolabe
Filmé et enregistré le 23/04/2015 à La Dynamo, Toulouse
Images : Eric Le Pottier et Benoît Chatellier
Montage : Eric Le Pottier
Mixage Son : Matèu Baudoin
Cannibales & Vahinés – City of Shades – Live @ La Dynamo, Toulouse – 23/04/2015
Images : Eric Le Pottier et Benoît Chatellier
Montage : Eric Le Pottier
Mixage Son : Matèu Baudoin
Cannibales & Vahinés – Mirror Man – Live @ La Dynamo, Toulouse – 23/04/2015
Images : Eric Le Pottier et Benoît Chatellier
Montage : Eric Le Pottier
Mixage Son : Matèu Baudoin
Cannibales & Vahinés – Oak Tree – Live @ La Dynamo, Toulouse – 23/04/2015
Images : Eric Le Pottier et Benoît Chatellier
Montage : Eric Le Pottier
Mixage Son : Matèu Baudoin
Toutes les vidéos de Cannibales & Vahinés
Cannibales & Vahinés est un quartet franco-hollandais né en 2005 à Toulouse avec Marc Démereau, Fabien Duscombs et Nicolas Lafourest puis rejoint par le charismatique G.W. Sok, chanteur et poète, ex-frontman du groupe mythique The Ex, en 2010. La musique, mâtinée d'imaginaire, de sensible et de représentation oniriques sert d’écrin à la poésie chantée de Sok, qu’il murmure ses complaintes ou vocifère ses colères à la face du monde. La voix éprouvée aux senteurs punks s’allie aux instruments débridés du trio et donne naissance à un son singulier, tout en contrastes. L’improvisation et la créativité individuelle s’équilibrent avec des séquences mélodiques très écrites. Le tout transporté par une fureur rock.
Un rock libre, imaginatif et plein d’engagement, simple et sans fioritures, empreint de rage et de concision, de libertarisme et de retenue, de colère, de poésie et de beaucoup de cœur...
Le groupe a trois albums à son actif, un premier en trio sorti en 2007, William S. Tell, puis N.o.w.h.e.r.e en 2012 et Songs for a Free Body à l'automne 2015.
Des textes de G.W. Sok, écrits lors d'une résidence de trois mois à Paris en 2013 - poèmes, nouvelles, réflexions sur la société où nous vivons, les grandes villes, les aspirations humaines - inspirent ce nouveau répertoire.
Un autre des points de départ, pour la musique, cette fois-ci, est un arrangement de La Symphonie pour les machines du compositeur futuriste russe Alexander Mossolov. Cette pièce, reprise par The Ex Orkest en grande formation en 2000, retrouve avec Cannibales & Vahinés sa puissance communicative très actuelle.
Mais la principale force à l’œuvre lors du travail de composition, c'est l'énorme complicité artistique et humaine que les quatre lascars ont développé depuis ces nombreuses années de travail en commun. Les chansons qui composent l'album sont le fruit d'un processus collectif où chacun a son mot à dire. Ici, toutes les couleurs des vastes palettes qu'ont à leur disposition ces quatre personnages, qui ont sillonné toutes sortes de paysages musicaux, trouvent matière à s'épanouir. C'est aussi ce qui fait de la musique de Cannibales & Vahinés sa singularité : un rock riche de sons et de sens…
En coproduction avec Lo Bolegason (Castres), Le Florida (Agen) et Le Rio (Montauban). Avec le soutien de la DRAC Occitanie, le Conseil Régional Occitanie, la SCPP, le CNV et la SPEDIDAM
Avec N.O.W.H.E.R.E. la poésie offre à Cannibales & Vahinés un terrain d’infinies explorations. Traductions de Léo Ferré, inspirations littéraires ou textes originaux de Sok, la voix éprouvée aux senteurs punks s’allie aux instruments débridés du trio de musiciens et donne naissance à ce son tout en contraste, free-rock, parsemé d’accents no wave (de Blurt à Sonic Youth), d’inflexions jazz ou ethniques, tantôt motorique, tantôt flottant, toujours tranchant.
photo : © Julien Brandely / illustration : © Benoît Guillaume
Née à Toulouse, le 21 juin 1997, sous la pluie, puis au fond des bistrots, La Friture Moderne poursuit depuis bientôt dix-huit ans ses aventures musicales. Elle a longuement exploré sous tous ses aspects, dans la rue, dans les théâtres, au fond des bois ou au bord d'une piscine où s’ébattaient des nageuses synchronisées, les possibilités de la fanfare.
A travers bien des folies, elle a tenté avec délectation d'en écarter les limites. Loin de la fanfare uniquement « festive », elle a toujours donné à entendre une musique portant un regard malin sur toutes sortes d'idiomes populaires.
Son nouvel opus, « Jour de Fête », marque un tournant important. La « fanfare de luxe » abandonne cette appellation pour devenir un (petit) big band, un tentet, se produisant désormais sur scène, dans une scénographie très évocatrice.
Elle se pose aujourd'hui sur les planches avec une certaine classe, et interroge cette notion de « Fête ».
De fêtes ou de célébrations, de ces occasions où les gens s'assemblent pour vivre un moment particulier, il en est de toutes sortes, joyeuses souvent, mais aussi parfois graves, ou amères, ou énervées, cathartiques très fréquemment...
C'est un peu tout ça qui est évoqué, avec énergie et tendresse.
Il y a là-dedans une foison de références, de Moonlight Fiesta que jouait l'orchestre de Duke Ellington dans les années trente, à Flee as a Bird, splendide marche funèbre de la Nouvelle Orléans.
Toute une palette d'émotions est déployée, à la façon cinématographique d'un scénario à imaginer par l'auditeur.
Et d'ailleurs, une place importante est dédiée au cinéma, dans une longue suite qui propose une relecture très fine de certaines musiques des films de Jacques Tati. Mon Oncle, Jour de Fête, Les Vacances de M. Hulot ou Playtime, tant de mélodies magnifiques que tout le monde connaît...
Visuellement, l'orchestre travaille habilement sur l'imagerie du big band (pupitres armoriés, costumes, disposition...). On peut penser aux orchestres de Ray Ventura...
Des intermèdes rythment la soirée, avec un détachement humoristique très particulier.
Des éclairages singuliers, sortes de détournement de la guirlande lumineuse, pouvant évoquer la guinguette populaire, mais aussi l'univers d'un David Lynch, posent des ambiances très évocatrices.
La musique, quant à elle, outre les sources citées plus haut, rend hommage à certains grands directeurs d’orchestres qui ont marqué ou marquent l'histoire: Willem Breuker, Carla Bley, Pino Minafra et bien d'autres...
La classe, je vous dis.
2010
Mr Morezon 005
2008
Mr Morezon 004
2008
Mr Morezon 002