Murder Poets
par Cannibales & Vahinés
Live au Taquin, Toulouse / février 2020
Vidéo : Claire Hugonnet
Archives pour la catégorie Label
Vidéo – Whatever – Cannibales & Vahinés @ Le Taquin, février 2020
Whatever
par Cannibales & Vahinés
Live au Taquin, Toulouse / février 2020
Vidéo : Claire Hugonnet
Jazz Magazine
Révélation !
D’un côté, Christine Wodrascka, improvisatrice portée vers la composition contemporaine, de l’autre Betty Hovette, interprète de ce dernier domaine dont elle tend à s’affranchir. De cette convergence est né Iana, duo de pianos, et ce disque : quatre quasi-miniatures improviées en studio et cette longue suite de 43’22 deux jours plus tard, aux Donauschingen Musiktage. De la fluidité dispendieuse ou minimale d’un clavier à l’autre, aux exercices de fusion des deux en un seul générateur sonore pour la pièce live, se dégage une complicité fascinante.Franck Bergerot, Jazz Magazine, décembre 2018
Iana Jazz Mag
D’une Extrême à l’autre
novembre 2018
Mr Morezon 019
+ d’infos
Newburn
27 septembre 2019
Mr Morezon 021
vinyle & édition numérique
+ d’infos
Facteur Sauvage III
4 octobre 2019
Mr Morezon 022
+ d’infos
Perte & Fracas
C’est tour à tour obscur et lumineux, mystérieux et limpide, âpre et d’une grande élégance, sauvage et retenu.
Les mélodies sont faites du bois qui brillent, se proposant à vous toujours naturellement, sans enluminure, la dextérité s’effaçant devant la simplicité. Des mélodies fort prenantes et charismatiques. Elles peuvent s’énerver ou caresser, se briser subitement ou gratter jusqu’à l’os. Elles construisent une suite de morceaux s’enchaînant comme autant de coups d’éclat… […]SKX, Perte & Fracas, sept 2019
Revue de presse – Perte & Fracas – Ma Walki
Des Cendres à la Cave
[…] On retrouve sur Ma Walki la même beauté simple, fondamentale, qui fait dresser les poils partout sur l’épiderme. Le même goût pour le cru et le revêche également. Aucune fioriture pour venir arrondir les angles ou pour faire écran. Ici, on va droit à l’essentiel et ce qui sort de la tête se retrouve immédiatement au bout des doigts. Du coup, on a souvent l’impression que la musique – comme lorsqu’on écoute Cannibales & Vahinés ou The And – tape toujours dans le mille, correspondant pile à ce que l’on ressent au moment où elle croise notre empan. C’est donc une alchimie très particulière qui nous lie à elle. Son élégante mélancolie, son blues très personnel, son intensité brute, sa sécheresse qui fait naître beaucoup d’images derrière les yeux expliquent des morceaux qui nous accompagnerons longtemps.
[…]
Grand.
Des Cendres à la Cave, avril 2019
Revue de presse – Ma Walki – DCALC – Forêt
JAZZWORD
Throughout the dynamic expression of passing patters and motifs from one to another that make up the sound miniatures on D’une Extrême à L’autre, Wodrascka and Hovette stake out antithetical positions even when in double counterpoint. One sticks to higher notes and the other lower ones, then switch. Meantime enough space is kept between the two expositions so that they don’t overlap. While timbral architecture isn’t definite, most likely the playful jumps and jerks, propelled with pedal work are from Wodrascka, while the hunting-and-pecking narrative, emphasizing micro-movements relates to Hovette’s processes.
Deeper and darker in execution, the 43 minute plus title track brings in more echoes from the fallback, soundboard and tightly wound strings than the previous pseudo-études. With the sometimes more individualized processes slightly more muffled the tendency towards abstraction and pure sound is intensified. Strummed chords and sympathetic vibrations poke out from the sometime kinetic program, but at the same time equal pressure towards creating sequences of impenetrable near musique concrete vies with the syncopation, Finally with jagged and tremolo repetitions seemingly bouncing off soundboard, piano timbres reach a point of affective concurrence.
Ken Waxman, JazzWord, février 2019
JazzWord – revue de presse album d’une Extrême à l’autre IANA
CITIZEN JAZZ
Dans « Tribute to an Imaginary Folk Band », les quatre musiciens se livrent à un jeu de déconstruction/reconstruction, ébauchant plus ou moins les mélodies d’origine, les concassant dans le creuset d’une improvisation collective débridée pour les faire renaître sous des atours libertaires. Une grande réussite.
Julien Aunos, Citizen Jazz, janvier 2019
Revue de presse – Bedmakers – citizen jazz – Julien Aunos – album Tribute to an imaginary folk band