Teaser : There is no was
Réalisation du clip : Karine Pain
Archives pour la catégorie Projets
No Noise No Reduction

Dates à venir
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27Sep
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27Sep
No Noise No Reduction x Sébastien Cirotteau x Alex Pique -
11DécDiscographie
Au doux combat me joindre
18 mai 2017
Mr Morezon 014
+ d'infos/commanderDistribution
Marc Démereau : saxophone baryton
Marc Maffiolo : saxophone basse
Florian Nastorg : saxophone basse
No Noise No Reduction
Un trio porté par des rockeurs qui ne se sont pas trompé d’instruments : deux saxophones basse et un sax baryton !
Marc Démereau (Le Tigre des Platanes, Cannibales et Vahinés, La Friture Moderne), Marc Maffiolo (L'Orchestre en Or, Agafia...) et Florian Nastorg (PIAK, Ostaar Klaké, BDC La Belle...) explorent au saxophone, un rock très " sonore ", porté sur la matière et l’énergie brute. Ils exhument les brûlots sonores des années 90 via Sonic Youth, Melvins, This Heat, Lightning Bolt… et surfent sur l’héritage free des années 70.
Kill Your Idols

Discographie

The Sonic Youth Greatest Hits
23 juin 2022
Label Rebelle
cd & édition numérique
+ d'infos
Kill Your Idols
BIZE

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Distribution
Robin Fincker : saxophone ténor, clarinette
Sylvaine Hélary : flûtes, piccolo
Liens
BIZE

© DR
BIZE
Imaginez deux rails qui, au gré d’une bourrasque, rompent le charme du parallélisme, et se rencontrent en certains points, pour se séparer quelques mètres plus loin.
Cela pourrait ressembler fortement aux trajectoires sonores des instruments de ce duo, découvrant à chaque instant des routes inattendues, décidant de virages et arrêts ponctuels, parcourant des paysages ou l’improvisation et l’écriture se mêlent sans distinction aucune, brouillant les pistes avec jubilation.
Se penchant dans leurs différents projets, tant sur les musiques actuelles que l’improvisation libre, l’écriture contemporaine ou les musiques populaires, Sylvaine Hélary et Robin Fincker cherchent dans leur rencontre à retracer, au fil de leurs compositions, le trajet de l’air produit par leurs instruments, pour y plonger l’auditeur. Du bruissement le plus ténu au souffle le plus plein, le duo résonne, glisse et devient trio, accompagnant ainsi la pièce, la voûte, le mur ou la clairière qui l’entoure.
Nous sommes faits de l’étoffe dont sont tissés les vents.
Alain Damasio, La Horde du Contrevent, éd. La Volte
MW solo

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Discographie

Passe-Montagne
Bedmakers - Passe-Montagne
31 janvier 2025
Mr Morezon 038
+ d'infos

Noir Paradis
11 octobre 2021
Montagne Noire
+ d'infos

Uwaga – Mathieu Werchowski
2005
Ektic
+ d'infos

Live in Berlin
Bedmakers - Tribute to an Imaginary Folk Band
5 mars 2021
Jazzdor series
+ d'infos

Tribute to an Imaginary Folk Band
avril/juin 2018
Mr Morezon 017
En co-production avec Babel Label
+ d'infos/commander
Revue de presse
Revue & Corrigée
Mathieu werchowski est ce saltimbanque dansant sur les portées à demi effacées de l’improvisation. Il impressionne par la fluidité du jeu, les cycles qu’il dessine à la façon des minimalistes, créant un opéra de crissements, de frottements, de vibrations. il travaille le son dans toutes ses composantes, du bruitage à la note épurée, la rudesse d’un jeu contemporain qui flirte parfois avec la tension extrême de celui de Tony Conrad. Tzigane échappé des folklores, il nous invite à sa table ou dans son lit pour ses « Régals », fermez les yeux, la musique vous touchera, les vers du poème de Verlaine récités dans un souffle, la grâce du violon s’enlaçant à l’érotisme cru du mot.
Revue & Corrigée – mars 2022
STNT
Brancher son violon sur le 220V comme dans ce génial ‘Once upon a time’ où la corde électrisée se fait guitare électrique et forge un paysage désertique rêveur où viennent se rajouter des mélodies qu’on aurait crues directement extraites de la tête de TOM CORA. Sombre, profond et noir comme cette pochette, c’est bien l’intérieur triste et douloureux de ses histoires qui m’interpelle. A découvrir.
Revue & Corrigée – novembre 2021
Dernières nouvelles d’Alsace
Le violoniste Mathieu Werchowski ouvre le feu pour un solo tout en tension. Dans une longue et unique respiration qui ne laisse quasiment pas de place au silence, enchaînant inlassablement de nouvelles boucles sonores, dans l’expression de l’urgence. Une belle traversée intranquille qui puise aux sources vivifiantes des falaises d’Irlande, gravit les montagnes occitanes, affronte les bourrasques des steppes mongoles…
Dernières nouvelles d’Alsace – août 2021
Distribution
Mathieu Werchowski : violon
MW solo

© Jérome Blanchard
MW
2 lettres miroirs qui se réfléchissent et s’équilibrent comme le violon et l’alto, ses deux instruments de prédilection qu’il triture en les faisant tour à tour crier, feuler ou chanter avec un sens aigu de la composition.
En montant des cordes de guitare électrique sur son alto ou en branchant son Mirecourt dans le 220V, il arrive à les faire sonner de manière inouïe, pouvant les emmener du calme zen au maelström le plus bruitiste.
Ses cordes vibrantes, en bouclant sur eux-mêmes des spleens inquiétants, disent le temps qui passe, convoquant dans notre mémoire tous les folklores imaginaires tapis dans les sous bois.
Depuis les années 90, Mathieu Werchowski baigne dans le monde de l’improvisation et performe en solo de par le monde (Inde, USA, Australie, Nouvelle Zélande, UK, Allemagne, Belgique, Portugal, Suisse, Pologne, Estonie).
Son travail associe la puissance de la transe dans une intense implication corporelle, au plaisir de l’instant dans l’exigence propre à l’improvisateur aguerri.
Toute en atmosphère, sa musique intranquille est souvent lyrique, parfois minimale ou éthérée mais toujours riche en images, ouvrant les portes à une séance de cinéma imaginaire dont le scénario est en perpétuelle évolution.
En Octobre 2021 est paru Noir paradis, son dernier solo enregistré dans des intérieurs et extérieurs tarnais avec le concours du GMEA sur le label Montagne Noire. Une recherche sur la résonance des lieux et leur mise en vibration. Il fait suite à Uwaga, son précédent album solo, paru chez Ektic en 2005.
Xibipíío

Xibipíío création 2022

© Michel Laborde
Xibipíío (création 2022)
Xibipíío, c’est la rencontre vibrante et résonnante de 170 cordes.
A l’origine, une proposition de Nicolas, celle de se rencontrer pour jouer ensemble quelques morceaux issus de son solo Faulkner Songs.
Aux frontières de l’improvisation et de la composition, le duo fouille, gratte, creuse des matières sonores, des associations de timbres à l’amplitude très dynamique pour en extraire un nectar qui se cristallise progressivement au cours des sessions de répétitions. Un propos musical à caractère mélodique autant que bruitiste se révèle, sans fioriture.
En ressort, une musique engagée, épurée, tout en apesanteur et suspension, nourrie de fulgurance et de tensions où l’énergie nous entraîne dans les abîmes de notre être avec un rapport à l’instant très intense.
Provenant du Piraha, langue parlée aux abords du fleuve Amazone au Brésil, Xibipíío exprime cet instant qui se situe entre l’apparition et l’évanescence où seule la magnificence du présent est à saisir.
Au seuil de notre expérience, dans l’infiniment petit - comme le nuage de poussière illuminé, ou dans le lointain, sur la ligne d’horizon, le xibipíío évoque cet espace aux limites de la perception.[…] Pour les Hi’aiti’iti (peuple d’amazonie) semble seulement compter le présent, l’expérience immédiate dans toute sa richesse et sa subtilté […] Xibipíío serait donc une invitation à « cueillir le jour », tournée, non vers le bonheur individuel comme le carpe diem épicurien, mais vers le monde qui nous entoure et se métamorphose sans cesse.
Octave Larmagnac-Matheron (Philosophie magazine)
Ecouter
Distribution
Betty Hovette : piano
Nicolas Lafourest : guitare électrique
Granit Lip

écouter
Distribution
Nicolas Lafourest : guitare électrique
Marc Démereau : saxophone baryton
Granit Lip
DUO NICOLAS LAFOUREST – MARC DEMEREAU

© Claire Thuries
[extrait] Granit Lip / Freddy Taquine – Le Taquin, Toulouse / 3 octobre 2021
[extrait] Granit Lip / Forum des associations / Saint Girons septembre 2020
Résidence de territoire / Art’Cade 20/21
Nicolas Lafourest et Marc Démereau ont, en près de deux décennies, au sein du groupe Cannibales & Vahinés, pris le temps de faire un peu connaissance.
Les voilà à présent en duo, avec quelques poils blancs dans la barbe, et comme une envie de passer un moment à discuter, posément, très simplement, de l'étrangeté du temps qui passe, des racines, de l'errance, du devenir...
Et au détour de ce calme dialogue passent peut-être les ombres de figures du passé, comme Johnny Cash, Amàlia Rodrigues ou David Bowie. Ou les réminiscences d'autres voix, comme celles de P.J. Harvey, Tom Waits ou Nick Cave, qui continuent de résonner autour de nous. Quelques bribes d'Afrique, un vague mode éthiopien, sotto voce le déchirement du free jazz...
Et surtout le poids impalpable de ce qui a été vécu, de ce qui se cherche toujours de beau, de modeste et de sincère, dans la vie comme dans la musique.
Fantômes avec vue

Distribution
Daniel Scalliet : Ecriture, voix
Accompagné sur scène par des duos de musiciens variés.
Fantômes avec vue

Fantômes avec vue
Pendant le confinement imposé par le coronavirus et généralisé de mars à mai 2020, Daniel Scalliet écrit un
poème par jour. Il passe commande également, sous forme de carte blanche, d'improvisations à des amis
musiciens. Les mots et les sons sont réunis, nait alors une collection d'instantanés éclairés, laconiques et
sensibles.
« Nous ne nous étions pas dit grand-chose, mes camarades et moi, dispersés entre Dijon et Toulouse. Le
confinement attisait nos solitudes. Mais notre silence fut bref. Ils m’envoyèrent des petites pièces sonores,
morceaux choisis, improvisés, concoctés dans le secret des instruments de chacun. Et j’écrivis un texte par
jour, aux aguets, sur une table haute de cuisine. Et naquirent ces poèmes en musique. Et je sentis leurs
épaules proches. Et un soulèvement léger. Nous n’étions plus affairés. Nous n’étions plus ensemble. Mais
nous restions intimes. Entre un corps empaillé, une taxidermie cérébrale et une sidération proche du
fantôme, nous avons soufflé nos braises tenues à l’écart. Avec nos poings. Et nos bulbes. Et notre beauté sur
des ruines avec vue. »
Daniel Scalliet.
Création scénique
Concerts de musique improvisée autour d’un poème long intitulé « Les
Hommes Décombres ».
Daniel Scalliet, écriture et voix
avec des duos de musiciens variés du collectif Freddy Morezon
production Freddy Morezon
Daniel Scalliet, écriture et voix
avec
Aymeric Descharrières, saxophone baryton et claviers
Sébastien Bacquias, contrebasse
Fabien Duscombs, batterie
Marc Maffiolo, saxophone basse
Laurent Paris, percussions
Mathieu Sourisseau, guitare
et Cyril Petit, mastering
Production Daniel Scalliet avec LeBloc (PointBreak)
en partenariat avec Freddy Morezon, Jazz à Poitiers, Radio Campus Dijon, Radio Campus Toulouse, Radio
Pulsar, Fréquence Luz, Radio Quetsch / Avec le soutien de la Ville de Dijon.
Les rencontres de Future Folk Stories

Distribution
Robin Fincker : saxophone ténor / clarinette
Mathieu Werchowski : violon / machines
Natacha Muslera : voix / poste radio à ondes-courtes
Fanny Lasfargues : basse électroacoustique
Fabien Duscombs : batterie
Anaêlle Marsollier : sonorisation
Les Rencontres de Future Folk Stories

Dans le cadre de leurs recherches sur la transmission des folklores et des traditions musicales, les membres de Future Folk Stories proposent une série de rencontres créatives autour du principe de collectage sonore.
Le projet des Future Folk Stories questionne comment les musiques traditionnelles et de manière plus générale les traditions liées à un folklore se transmettent, voyagent et se renouvellent. Initié par groupe de musiciens improvisateurs, les Future Folk Stories prennent la forme de compositions musicales mêlant archives sonores, collectage de voix parlées ou chantées, musique électronique et improvisation en direct.
Par l’organisation de ces rencontres Robin Fincker (saxophone, clarinette) et Mathieu Werchowski (violon, électronique) cherchent à échanger avec les publics les plus variés possible sur les liens intimes que l’on peut avoir avec certaines musiques liées à une tradition ou un folklore, le rapport individuel que l’on peut avoir avec une tradition de groupe et, par extension, l’impact de ces traditions dans la construction d’une identité. Prenant la forme de discussions, « d’échanges sonores », d’écoutes et d’enregistrements, ces rencontres mènent à la collecte d’un matériau qui est ensuite découpé, monté et partagé sous forme de pièce musicale.
A ces rencontres se rajoutent la possibilité d’un travail sur la voix mené par Natacha Muslera à partir des matériaux collectés et des sons environnants dans les espaces de vie quotidienne. Par la création d’une chorale éphémère ou l’interaction avec un ensemble vocal déjà existant, Natacha remet en jeu les paroles et les fragments mélodiques dans le but d’une reinterpretation sensible par la voix de nos rapports à ces folklores en perpétuels renouvellement.
Ces rencontres peuvent donner lieu à une restitution sous forme de performance ou être aussi enregistrés en vue d’alimenter à leur tour le collectage.

Une installation polyphonique de voix-mondes, sertie dans un écrin de matières instrumentales et électroniques et une rencontre avec un·e invité·e du territoire traversé.

Occupation de territoire

Cinq musiciens et une technicienne pour un concert-documentaire-radiophonique-scénographié.
Vidéo – Forêt – Untitled#4
Forêt – Untitled#4 Sortie le 29 janvier 2021
Réalisation du clip : Karine Pain